Le mot vietnamien "giáng hoạ" peut être traduit littéralement par "faire tomber un malheur". Il a une connotation assez forte et est souvent utilisé dans un contexte religieux ou mythologique, où l'on parle de divinités qui infligent une calamité ou un malheur à quelqu'un ou à une communauté.
"Giáng hoạ" se réfère à l'idée d'une malchance ou d'une catastrophe qui arrive à quelqu'un, souvent de manière inattendue et souvent attribuée à une volonté divine ou à un destin. C'est un terme qui évoque une certaine fatalité.
On utilise "giáng hoạ" pour parler des épreuves difficiles que l'on subit, souvent en lien avec la croyance que ces malheurs sont causés par des forces supérieures. Par exemple, on pourrait dire que quelqu'un a "giáng hoạ" si cette personne traverse une période particulièrement difficile dans sa vie.
Dans un contexte plus littéraire ou poétique, "giáng hoạ" peut être utilisé pour exprimer des sentiments de désespoir ou de perte, souvent pour renforcer le drame d'une situation.
Il n'y a pas de variantes directes de "giáng hoạ", mais on peut trouver des synonymes ou des expressions similaires qui expriment des idées de malheur ou de calamité.
Le terme peut également être utilisé de manière figurative pour parler de situations où une série d'événements malheureux s'enchaînent, même si ce n'est pas nécessairement lié à une intervention divine.